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Shine Cold Stockolm

Shine Cold Stockolm
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Shine Cold Stockolm
19 janvier 2010

ihmsaiwd

comment arrêter d'être amoureux
c'est la dernière chose qu'il me fallait, une souffrance réelle. comment arrêter d'être esclave de mes sentiments. réaliser que tout aurait pu marcher, mais pour une fois, pour une raison totalement étrangère à vous, ça ne marche pas. vous n'y êtes pour rien, pour une fois vous ne pouvez pas vous en vouloir, mais ça foire. c'est à cause de l'autre. mais le resultat est le même.

comment se libérer d'une pensée
comment s'affranchir d'un sentiment
comment ne pas péter un câble, pour une fois tout était parfait, sauf évidemment le détail qui brise tout. pour une fois que  ce n'est pas ma faute.
je veux juste être libre de cette pensée, s'il vous plait

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31 décembre 2009

untitled

je n'avais pas du tout compris les règles du jeu.
La vie a commencé pour moi. Le rôle de mes parents est terminé depuis longtemps. "Le mal est fait", il n'y a plus rien à faire de ce côté. Je suis en colère d'être ce que je suis car j'ai découvert que je n'étais pas le seul responsable, l'éducation qu'on m'a donné en est responsable. Le malheur est que aujourd'hui je ne peux pas changer. et allier ça à mes propres défauts me coince dans un noeud inflexible. La rage que j'ai est énorme, j'en veux à mon père dementiellement.
Mais la vie se déroule. Je m'étais trompé, mon éducation est terminée, le mal est fait. Maintenant, je ne peux être que le seul à supporter mon être. Ce que je suis m'appartient. ok
qu'est-ce que je vais en faire?
putain rien qu'en écrivant cette phrase, un élan de vide me parcours. Pour être plus poétique, c'est comme si un courant venteux agitant des feuilles s'en allait au loin avec ses feuilles, et laissait derrière lui du bitume et que ça.

Bref, difficil de réaliser qu'on est à un point que aujourd'hui je considère comme culminent, le début des choses sérieuses. Avant c'était quoi? c'était une blague? c'était un exercice noté, avec les points bonus et les images? demain qu'est-ce que ça sera? 
qu'est-ce que je veux? qu'est-ce que je peux apporter? qu'est-ce que je fou là?
je ne sais rien faire, la politique française du travail me fait vomir, l'art? laissons le aux artistes,
à ce sujet, j'ai l'impression de m'être royalement planté, et si j'avais du devenir artiste? les beaux arts? remarque sans le cercle que j'ai aujourd'hui je serais surement perdu dans un sombre état de pensées, comme aujourd'hui, mais en dix fois pire.

J'en ai marre, je ne sais pas. et si je sais, ce savoir dure peu de temps, et le manque de confiance flagrant qui m'habite me tétanise. il y a trop de différences entre mon imagination et la réalité. je ne peux pas prendre pour argent comptant ce qui me passe par la tête.
il faut que je partage tout ce que j'écris avec un psy, je peux pas continuer comme ça. c'est un travail inutil, au moins je me décharge mais à quoi bon tourner en cage éternellement. il faut bien une cuillère pour touiller la sauce.
bienvenu dans mon temple égoïste.

j'ai fait un test de personnalité assez prenant récemment, je suis apparemment esclave de mes émotions, que je ressent trop intensémment, et je suis dépourvu de toute originalité. en gros je prends chéro. mais ce qui était intéressant, c'est la conception nouvelle apportée par ce test: je m'invente une conception émotionnelle avec ma mémoire plus ou moins amputée selon la circonstance du moment. bref, toute ma personnalité repose sur mon imagination qui me pousse à ressentir des émotions, qui sont par conséquent faussement amplifiée. dois-je comprendre que je suis un être en carton?

bang

3 septembre 2009

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impossible de trouver une sortie de sureté

malheureusement, plus on avance, plus les problématiques imprévues apparaissent. impossible de prévoir un plan sur deux ans stable, sans problème, au moins du point de vue interne. pourquoi être tjs aux aguets? peut être que le precepte passé va ressortir: tjs s'attendre au pire. je l'ai perdu de vue depuis un bout de temps et le voila qui ressurgit aussi sec.

je vieillis, pas de beaucoup, j'ai besoin d'aide, pas d'assistance, pas de béquille, pas de fauteille, comment expliquer à ses parents comment éduquer ses enfats? vaste question...
à un moment donné, on connait des gens d'univers diff"rent, tous ont une vie normale sauf vous. vous etes parfait? loin de la, donc l'erreur vient de vous, et tout le poid d'un echec sur 15 ou 16 ans repose sur vos épaule. Maintenant j'en suis conscient, et je ne me sens pas soutenu. Difficil à expliquer, j'ai besoin d'aide, cette aide je l'aurai quand on me laissera me casser la gueule. J''ai appris à ne faire ce qu'on me dit par soumission, par la peur. que faire quand c'est le ressentiment d'une peur sur une decennie ou deux qui prend le dessus aujourd'hui? resister et montrer qu'on existe? valider et être doux comme le dain? se planquer, tout refuser en bloc et se couper, créer son monde? se casser?

j'ai le choix entre le blanc et le noir. chez moi, c'est la reconnaissance (parfois infondée, parfois très conne, parfois fidele), le blanc donc, ou le noir (ressentiment, même apres quinze ans, direction perpendiculaire....). J'ai l'impression, je peux me tromper et je n'affirme rien, que dans l'endroit ou je devrais être le plus confiant au monde, c'est à dire chez moi, c'est là que je dois faire le plus attention à ce que dis.

1984: le crime par la pensée. la menace est un precept que j'ai assimilé depuis très longtemps. une fois mon père m'a menac" de m'envoyer en pension au canada, pour que je n'aille plus retrouver un pote de 18 ans (j'en avais 12), par peur d'actes pédophiles, que pense? soutient abusif? amour étouffant? peur? peur?

les intentions sont très souvent bonnes, malheureusement, comment évaluer une édication. il n'y a pas de cours d'education, il n'y a pas de devoir surveillé ni de partiel, et aucun boss pour vous traiter.

comment instaurer un dialogue: haine? non, deception, oui, de quoi? comment dire... gris? oui? non, dialogue impossible. Prenez la pince la plus précise pour saisir une cellule? Aucune pince n'est assez fine pour saisir la cellule, sans l'abimer de surcroit.

j'ai essayé le dialogue (par téléphone, comment être honnête avec ses parents devant eux? paradoxe, c'est comme aller vers un feu en pleine hiver et voir qu'il ne nous rechauffe pas), peut être m'y suis je mal pris. je ne sais pas comment prendre plus de précostions. comment faire passer le message avec le plus de diplomatie. la solution comme vue précédemment est le blanc ou le noir: l'aiguille entre les deux extremes est tellement attentive qu'il faut trouver des trésors de réthorique pour avancer un thèse, sans l'argumenter, juste l'avancer.

le niz est matériellement chaud, mais l'esprit vit une taiga quand je rentre. comment si  le piège était tendu, ou est-on le plus vulnérable: chez soi. c'est universel. le chez soi protège des acides exterieurs, mais, comment qualifier ce qui vient de l'intérieur?




manipuler un enfant est on ne peut plus simple, c'est une opération insignifiante. c'est comme jouer au ping pong contre un aveugle. mais comment continuer à garder le même comportement avec un rejeton qui dépasse les 20 ans.

je ne me vois pas au dela de 30 ans. je dois compter chaque jour mes qualités pour équilibrer la balance tenue par les deux êtres en moi, celui de la facilité, qui represente le chemin le plus court, et qui voit la vie au dela des reves, et qui provoque une chute vertigineuse, et celui réaliste, qui dit que le code d'un coffre fort ne se change pas comme ça.

que faire. je suis encore dépendant, mais j'attends qu'on me laisse me casser la gueule. mes abitions sont rester en vie, manger et avoir un toit en ce moment. dans un an, je travaille et n'aurai plus de public pour me payer la rançon du doute chaque jour

comment élever un enfant, je dois demander à mon frere comment a-t-il apréhendé la chose. comment passer noel, et comment ouvrir un barrage sans qu'il se fissure et s'efondre

15 juillet 2008

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on se forme pas à la responsabilité en étant surprotecteur

laisse moi me casser la gueule

11 juillet 2008

FINITO

ça y est, c'est terminé.
12 mois bouclé, une année de plus, de la maturité en plus? certainement, j'ai rencontré beaucoup de gens, qui m'ont appris beaucoup, en terme de percectives, de respect, de coabitation, de communauté, de culture.

La clef se trouve dans les voyages

Trois amis m'ont dit qu'ils ont déjà voyagés dans les pays de l'est à l'arrache, into the wild, jack kerouac des temps médiocres et sans poésie. Et bien si, poésie il y a, on y apprendrait une autre mentalité, un autre mode de société, plus ouvert sur les gens, moins matériel: utopie enfantine, certainement, mais le fait est que j'en ai marre de vivre ici.
Tout y est bon, tu as des amis, de l'argent, un appart, mais

mais

Jouer de la musique
Jouer de la musique
Jouer de la musique

Je n'ai pas assez de couille pour prendre un billet allé, alors je voyage par l'esprit en me construisant un train mentalement, avec un ciel qui change de couleur, qui roule sur deux railles blancs en mi et la. Là tu ferme les yeux, non, tu te rends compte que tes yeux se sont fermés et tu ne reflechis plus: tout deviens logique sous tes doigts, tu ne cherhce plus, tu as l'impression qu'on te donne.
Oui tes doigts bouges, mais tu ne fait qu'un avec ta guitare, la guitare est ton troisième bras, ton deuxième sexe, un hémisphère perdu et heureusement trouvé.

En un an, on évolue beaucoup, surtout quand la température de l'eau change brutalement: les poissons sont différents, ont d'autres formes de nageoirs, et tu te rends compte que d'un bout à l'autre de la France, les kilomêtres changent définitivement les gens. Parceque la jeunesse que tu croyais presque terminée, reprend un coup de jeune, et tu te sens encore jeune et con pour encore 3 ans.

Cette année aura été la meilleure de ma vie, il y a eu des hauts, et des bas, là je suis un peu dans le bas car je n'aime pas les fins, que ce soit celle d'un disque, d'un film, d'une période. ça me casse à chaque fois, et je sens que les larmes ne sont pas loin à chaque coin de rue, mais le ciel pleure déjà pour toi, et oui, temps de chiotte. J'ai vécu tellement de choses, qui seront insipide pour l'extérieur, mais ultime pour moi, que j'ai envie d'écrir cette année. Pour ne pas l'oublier, par peur de l'oublier, par peur d'oublier ce qui m'est arrivé de mieux. C'est la première fois cette année que je pleurais de joie.

J'ai découvert un autre aspect de ma personnalité: je suis extrèmement pudique, pas dans le sens physique du terme, mais je ne dévoile rien de moi, je ne parle jamais de moi, et lorsque je dis ce que je ressent, c'est pour parler de ce que je pense des autres, et pas de moi. Et lorque les portes du sanctuaire s'ouvrent,  elles ont été fermée depuis si longtemps  que mes émotions m'envahissent et je pleure. Recemment un ami, qui est subitement est devenu très important pour moi me dit que la plus belle chose qui ai pu lui arriver était de voyager, de découvrir, à l'arrache, dans plein de pays, sans savoir comment rentrer, comment bouffer, où dormir. Ca peut paraitre inutil ou sans fondement, mais c'est ce qu'il ya de plus important au monde: le combat contre soi-même, se sortir les doigts du cul, bouger, se battre contre ses peurs, et y aller, sans se poser de questions.

J'aurai franchi un cap quand je ferais ça.

Bizarrement ce mec là a aussi un groupe de musique qui commence à bien tourner, à gagner des prix, et dieux sait que ça prend du temps pour un groupe de décoller. Ce mec là avait en lui tout ce que je voulais, je n'y avais pensé mais c'est ça que je voulais de A à Z, un truc que je n'aurais peut être jamais, par peur, de moi? de mes parents? de mon avenir? mais vivre sans la peur de l'avenir, putain, c'est ça, c'est vivre!

Alors je lui ai dit, que j'avais l'impression de passer à côté de quelquechose car je n'avais pas ce que je voulais, et que le temps passait sans que je puisse y trouver une bonne prise. J'ai été honnête, pour une des seules fois de ma vie, j'ai été honnête avec moi même, et devant quelqu'un.

J'ai pleuré

Pas de tristesse, pas de joie, mais de soulagement

Le_voyage_imaginaire

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5 avril 2008

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une année c'est quoi, un train dans une montagne russe, l'euphorie arrive quand ça monte et tu sens que tu es en haut de la montagne, et la seule chose que tu as a faire c'est attendre de retomber parceque c'est comme ça. Tu peux pas frainer en cours de descente, c'st comme le temps, personne n'a le droit d'y toucher, le pire de tout c'est que tu te laisse quasiment tomber.

Mais personne ne te plaint, et heureusement car sinon la complaisance serait un reflexe ancré au plus profond du genre humain.

J'ai l'impression que je ne serais plus capable de profiter des bons moments et des bonnes périodes, car je sais que ça aura une fin que je serais comme je suis maintenant, assis, à remuer la sauce pour voir ce qui ne va pas cette fois ci.

J'ai atteint mon objectif le plus cher de cette année, je me suis battu, j'ai investi énormément, en entousiasme, en énergie, en créativité, et même en argent. J'ai réussi à atteindre la place qui me tenais le plus à coeur cette année.

et voila

quoi d'autre? le problème c'est que j'ai été occupé cette année, j'ai eu un objectif, un point à l'horizon, et quelquechose à quoi penser, mais mainenant le point est derrière moi, et tout ce qui reste devant moi, c'est moi. La vie dans toute sa splendeur

conclusion, je suis condamné à chercher des trucs à faire pour m'occuper et pas m'occuper de moi?

j'en sais rien

je vais chercher quelquechose à foutre

@+

24 octobre 2007

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la clef est certainement la simplicité

physiquement comme mentalement

j'aime bien faire la distinction entre le mental et le physique
certains disent que si on est bien dans son corps alors on est bien dans sa tete, mais je préfère penser que le bien mental apporte le bien physique.

la simplicité, je la veux, mais est-ce que justement réaliser en son esprit que la simplicité nous manque n'exclu-t-il déjà pas à l'origine le concept de simplicité?
coment simplifier son esprit, comment cesser de se poser des questions inutils qui débouchent sur une unique chose: le doute?
ceci dit, un élèment est positive, la remise en cause permanente, mais j'avoue qu'il serait plus pratique d'avoir un jour tous les deux ou trois mois de remise en cause. etre compliqué deux ou trois fois dans l'année, donc devenir schizophrène.

la simplicité est peut etre d'accepter ce que nous sommes, ne pas chercher de solution à ce qui incombe à notre personne? faire avec?
je ne peux pas me résoudre à faire avec, pourquoi? à cause des autres essenciellement, je veux toujours mieux.

aujourd'hui je vais bien
je ne veux pas me poser la question suivante: pour combien de temps?

21 octobre 2007

sans titre

le sommeil est quelquechose de conceptuel
le corps se repose de ses efforts journaliers, le fait de marcher, le fait de se tenir droit, le fait d'etre en équilibre debout mobilise intensément le corps, et on besoin de faire une pause, alors les yeux commencent à piquer, on se couche et on s'endore.
mais est-ce la fatigue qui nous fait piquer les yeux, ou est-ce que le corps libère une protéine acide pour nous forcer à fermer les yeux? le corps nous impose un rythme de vie, en fait on ne décide plus grand chose: quand on a faim, c'est simplement que le cerveau libère une protéine qui nous fait signe de manger...
mais le sommeile est plus interessant car le cerveau se déconnecte de la rélité, pour laisser la place aux rêves, on ne plus, n(entend plus ni de ressent plus le monde réel, c'est notre monde qu'on se met à voir, à sentir, à toucher... un monde particulier où tout nous appartient, envies, craintes, le monde est modeler précisément par l'équilibre formé entre peur et désir; les gens qui peuplent nos rêves sont inspirés par la réalité, mais leur réaction provient de notre imaginaire: un seul cerveau gère tous ces élèments: si trois personnes se retrouvent dans le rêves, ces trois personnes auront le même cerveau, la même origine, l'atomicité laisse place à une direction unique inérante à nos propres émotions, ce qui justifie peut être le fait que nous soyons fou dans nos rêves, via les mondes et les situations que nous rencontrons.

14 octobre 2007

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en ce moment même je regade le live at pompei de pink floyd.
ce film est très important pour moi, il a marqué une évolution chez moi, j'avais 17 ans quandje l'ai vu, et ce son daté et estanpillé années 70 me laisse toujours dans un sentiment de bien etre, de retour en arrière, de passage à un nouveau cap: d'une année de mensonge et de culpabilité à une nouvelle période de liberté, ouvrant sur deux nouvelles années qui ne furent pas faciles non plus, mais c'est la marche qui est importante, c'est cette période charnière, une forme de renaissance.
cette période restera dans mon esprit à jamais, car cet été, est née une amitié que j'espère immortelle, le genre d'amitié pure, que dire là dessus: plus fort qu'un lien de parenté, accompagné par une addiction totale de ma part pour pink floyd.
je l'ai souvent dit, mais pour moi la musique fait office de madeleine, c'est en partie pour cela que j'aime tant pink floyd, non seulement pour la musique, mais pour tout ce qu'elle implique pour moi, souvenir d'ébaissement la première fois que j'ai écouté dark side of the moon en entier sur un vinyl d'époque, qui appartenait à son père...
je suis parti de chez moi, et maintenant que je suis  l'autre bout de la france, ces moments me manquent encore plus car ils ne sont même plus accessibles physiquements, j'ai du partir sans  ce qui faisait de moi ce que je suis,  ce qui peuple mon antre et qui est trop gros pour etre déplacé. Mais c'était une étape de plus, obligatoire,  et c'est un nouveau bout de vie qui s'ouvre à moi; j'ai pris l'habitude de raisonner en bout de vie, car jusqu'ici ma vie est facilement découpable en différentes périodes, maintenant est le début d'une nouvelle période.

20 août 2007

danseuse

P1030119

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